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Arcachon, la Ville d'Hiver (2)
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Doucement nichées à l'abri des vents, noyées dans la verdure et largement ouvertes vers l'extérieur, de flamboyantes villas témoignent des extravagances et de l'opulence des premiers résidants de la Ville d'Hiver.
La visite ne manque pas de charme...
Carrefour d'influences architecturales, peu d'endroit présentent une telle diversité de styles.
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Auteur d'un célébre mémoire sur les dunes qu'il envoya à l'administration du département de la Gironde, Nicolas Brémontier affirmait pouvoir fixer les dunes en les boisant.
Il a convaincu les pouvoirs publics de la nécessité de cette entreprise et obtint la signature d'un arrêté (2 juillet 1901).
Oeuvre du sculpteur Alexandre Léon, le buste de Nicolas Brémontier trône sur la place portant son nom.
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Espace vert aménagé au coeur de la Ville d'Hiver, cette place fut le lieu de rendez vous de la haute bourgeoisie du vin qui venait à Arcachon pour pratiquer la chasse à courre.
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Chaque été, le kiosque de la Ville d'Hiver, situé au centre de la place Fleming, s'enflamme pour la traditionnelle fête des palmiers.
Cet endroit, autrefois réservé aux jardiniers, accueillait les serres destinées à alimenter en fleurs les allées du parc Mauresque.
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Il fut transformé par les habitants de la Ville d'Hiver et le kiosque fut offert par le Directeur du Grand-Hôtel. On y donnait chaque dimanche d'hiver des concerts.
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Inaugurée en 1878 par l'archevêque de Londres, l'église anglicane Saint-Thomas fut construite à l'initiative du Pasteur Radcliff représentant la forte « colonie » britanique.
Cette église en 1975, est devenue temple protestant et se situe à proximité de la Place des Palmiers (aujourd'hui Place Fleming).
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